Un jeune enfant subissait des risques sérieux de négligence, d’abus physiques de la part de sa mère et de négligence sur le plan éducatif. Suite à un signalement auprès de la DPJ, l’enfant a été placé au sein d’une famille d’accueil puisque la décision de la cour du Québec déclarait que la sécurité et le développement de l’enfant étaient compromis. Le père avait jusqu’alors droit à des visites supervisées et gardait son autorité parentale sur l’enfant.
Le jugement ordonnait à la DPJ de poursuivre la clarification du projet de vie permanent de l’enfant en excluant tout retour auprès de l’un des deux parents. Le père de l’enfant a fait appel de cette décision estimant que le retour de l’enfant à son domicile ne devait pas être exclu du projet de vie permanent de l’enfant. Certains éléments ont été appréciés et ont joué en la faveur du père, notamment ses efforts de suivi psychologique dans le but d’améliorer son comportement.
Le jugement a donc été revu et la DPJ doit maintenant clarifier le projet de vie permanent de l’enfant sans exclure un retour auprès du père.
Notre avocate, Me Amanda Inkel, défendait le père dans cette affaire.
Nos avocats en protection de la jeunesse n’ont pas toujours gain de cause. Voir notice.
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