Nous représentions la Demanderesse qui a introduit une demande en garde et pension alimentaire.
Notre cliente demandait une demande en garde partagée au stade intérimaire malgré qu’elle demeurait au Nouveau-Brunswick et l’enfant se trouvait au Québec.
La situation présentée par notre cliente était que les parties résidaient au Québec et que, selon le projet de couple, le Défendeur devait rejoindre la Demanderesse au Nouveau-Brunswick. Cependant, il n’en fut pas ainsi puisque le Défendeur n’est jamais venu la rejoindre et il n’a jamais retourné l’enfant mineure à la Demanderesse. Toujours selon notre cliente, elle avait été victime de violence conjugale de la part du Défendeur et de chantage.
Quant au Défendeur, ce dernier niait complètement le projet du couple de déménager au Nouveau-Brunswick et le fait qu’il devait retourner l’enfant mineure comme promis. De plus, il niait complètement les allégations de violence et de chantage.
À la suite des représentations, la juge ordonna que l’enfant mineure résiderait chez le Défendeur et que la Demanderesse aurait des droits d’accès lui permettant de quitter le Québec avec l’enfant mineure pendant 7 journées consécutives par mois. Elle ordonna aussi que la Demanderesse aurait 4 journées consécutives avec l’enfant mineure par mois ainsi que des communications avec l’enfant mineure 2 fois par semaine.
La demanderesse a donc obtenu la garde partagée de l’enfant mineure malgré le fait que les deux parties ne résidaient pas dans la même province.
Les clients du cabinet de Me Vallelonga n’ont pas tous gain de cause. Voir la notice.
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