
Veronica Vallelonga, avocate en protection de la Jeunesse
La DPJ a présenté une requête en vertu de l’article 38 de la Loi sur la protection de la jeunesse. Elle visait à obtenir des droits de supervision d’une durée de 12 mois sur les enfants du couple. La DPJ alléguait un risque existant envers les enfants en raison d’événements sexuels passés impliquant le père.
Notre avocate en protection de la jeunesse a été mandatée par les parents pour contester cette requête. Elle a fait témoigner les deux parents lors de l’audition. Ensuite, l’avocate a plaidé qu’il n’y avait pas de preuve prépondérante de l’existence d’un risque sérieux, important et inquiétant que des abus sexuels soient commis. Elle a déposé de la jurisprudence à l’appui de son argument.
Le juge a rejeté la requête de la DPJ.
Les clients de notre avocate en droit familiale n’ont pas tous gain de cause. Voir notice.
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